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6 novembre 2009 5 06 /11 /novembre /2009 07:15
On peut voir sur Facebook des groupes de toutes sortes qui se créent soit au fil de l'actualité, ou pour soutenir une cause, une personalité etc etc...

Cela peut être drôle, sympatique ou sérieux sauf que comme chacun sait internet c'est bien et même très bien et aussi dangereux voir même très dangereux...

Etant moi même sur FB je suis tombé sur 2 groupes qui me posent questions. Le deuxieme groupe s'est créé en réaction au premier.

le premier s'appelle


CONTRE LES T SHIRTS DE LA FRANCE AVEC LE DRAPEAU DE L'ALGERIE DEDANS

Le deuxième s'appelle

Je vous invite à y faire un tour.

Je Propose de créer un groupe: "Qui à dit: l'Algérie c'est la France"
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29 septembre 2009 2 29 /09 /septembre /2009 11:57
Un beau moment de télévison et de débat.
Enfin un "arabe qui sait parler", ça nous changent


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26 septembre 2009 6 26 /09 /septembre /2009 11:00
Parti socialiste: Et si on commençait par le mandat unique !

La proposition formulée par Martine Aubry d'interdire le cumul des mandats au sein du Parti socialiste devrait s'appliquer qu'après les élections régionales, si jamais les militants y consentent.  «N'y a-t-il pas le risque une nouvelle fois d'annoncer des propositions novatrices et de toujours de différer leur mise en œuvre?», s'inquiète Barbara Romagnan, conseillère générale PS du Doubs et docteure en sciences politiques.


Le discours de Martine Aubry à La Rochelle est encourageant, en particulier sa prise de position sur le mandat unique, outil essentiel de la rénovation du Parti socialiste et de la vie politique française, où 85% des députés et sénateurs détiennent un autre mandat électif. Cette décision est courageuse lorsqu'on connaît la pesanteur et la frilosité de certains sur cette question.  En revanche, je m'inquiète du fait qu'elle propose que cela ne s'applique qu'après les élections régionales. N'y a-t-il pas le risque une nouvelle fois d'annoncer des propositions novatrices et de toujours de différer leur mise en œuvre ? N'y a-t-il pas le risque de renforcer ainsi le décalage entre les paroles et les actes, qui participe largement du discrédit des politiques ? 

 

Avec le mandat unique, nous avons une occasion de traduire nos propos en actes sans attendre une prochaine hypothétique victoire en même temps que nous nous donnons les moyens de l'emporter aux élections à venir. En l'appliquant dès aujourd'hui pour la constitution de nos listes pour les élections régionales, c'est un véritable électro-choc que nous déclencherons, électro-choc sans doute indispensable pour remettre nos listes dans une logique de victoire, car nous savons bien que ces élections vont être très difficiles. 

 

Premièrement, dans notre vision républicaine de la représentation, les élus n'ont pas de sexe, pas d'âge, pas d'appartenance sociale, pas d'origine, pas de couleur. Pourtant, notre parti - et les autres également - se ridiculise en payant des amendes parce que, ne respectant pas la parité hommes-femmes, il enfreint la loi qu'il avait lui-même fait voter. Si l'on exerce un seul mandat, au maximum trois fois de suite, cela libérera bien des places, et ne manquera pas de faire émerger de nouveaux candidats. Peut-être cela redonnera-t-il le goût de l'engagement et des responsabilités à ceux qui sont aujourd'hui éloignés de l'action collective. Notre parti mérite mieux qu'une moyenne d'âge supérieure à 55 ans, mieux que les maigres 5 % des moins de 30 ans, et beaucoup mieux que ces proportions anecdotiques en son sein d'ouvriers et de militants issus de la diversité. 

 

Deuxièmement, le mandat unique pour les parlementaires, les présidents de Conseil général et de Conseil régional, et pour les maires des plus grandes villes, est une question de principe. Car, même si certains se sentent capables d'assumer 3 mandats, mieux que d'autres, un seul, nous sommes socialistes. Et, être socialiste, cela implique de partager le pouvoir, de la même manière que nous prônons le partage des richesses. C'est aussi une question de démocratie parce que tout le temps passé à autre chose qu'à son mandat est laissé aux services des collectivités ou de l'Etat. Mais les citoyens votent pour que leurs élus tranchent, décident, et non pas pour que les techniciens le fassent à leur place, quand bien même ils soient très compétents. 

 Troisièmement, c'est une question de crédibilité. Comment continuer à défendre l'idée qu'il est meilleur qu'une seule personne exerce deux mandats à la fois, plutôt que deux personnes ; travaillant ensemble en bonne intelligence, exerçant chacune un seul mandat ? Comment croire qu'un Président de Région ou de Département, qui serait en même temps parlementaire, remplirait mieux les tâches que lui ont confiées les citoyens, que deux personnes assumant chacune un de ces deux mandats ? Comment penser que le montant des indemnités des parlementaires, des Présidents de la plupart des collectivités territoriales ne justifieraient pas un engagement à plein temps pour chaque responsabilité ? C'est une question de crédibilité également parce que la perspective d'inscrire dans la loi une nouvelle limitation du cumul des mandats ne nous exonère pas de la responsabilité d'agir dès maintenant, de nous appliquer à nous-mêmes ce que nous prônons pour tous. 


Le non cumul est une mesure qui ne coûte rien, qui est populaire, qui est salutaire pour la démocratie. Le non-cumul est aussi une façon de respecter nos concitoyens, en nous consacrant pleinement à la mission qu'ils nous confient. C'est également une formidable occasion d'ouvrir et de dynamiser notre démocratie.

Alors pourquoi attendre ?

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8 juillet 2009 3 08 /07 /juillet /2009 20:47
Les relations franco-algériennes
19.04.2006 | Mise à jour : 08.07.2009
Les présidents, Nicolas Sarkozy et Abdelaziz Bouteflika

Les présidents, Nicolas Sarkozy et Abdelaziz Bouteflika

L'avenir du traité d'amitié franco-algérien est plus que jamais incertain. En cause : la loi du 23 février 2005, adoptée par le Parlement français, qui, dans son désormais célèbre article 4, évoquait le "rôle positif de la présence française outre-mer, notamment en Afrique du Nord". En dépit de l'abrogation de cet article, le 16 février 2006, les autorités algériennes font pression sur le gouvernement français pour qu'il fasse acte de repentance. Objectif : pousser Paris à entreprendre un travail de mémoire sur la période coloniale. Jusqu'ici, la France a toujours refusé de se plier à cette exigence. Pourtant, en dépit de relations diplomatiques ambiguës, marquées par l'incompréhension, les deux pays sont étroitement liés sur le plan économique, la France étant à la fois le premier fournisseur et le premier client de l'Algérie. Malgré quelques déclarations fracassantes, Le président Nicolas Sarkozy, élu en ai 2007, n'a pas non plus réussi à redorer l'image de la France en Algérie.
En juillet 2009, des révélations sur le massacre des moines des moines de Tibihérine en 1993, impliquant  l'armée algérienne, mettent à nouveau à mal les relations entre les deux pays.

Courrier International

Ils sont mignons les deux vont-ils se rouler une pelle? C'est beau l'amitié.

Plus sérieusement,encore une fois l'hypocritie de nos hélites est en bonne place .
Il est encore temps que Nos deux pays se disent les choses, telles qu'elles sont et de fermer ce livre à jamais pour enfin construire un avenir serein avec un minimum de justice.
Vu le nombre d'"algériens" qui résident en france, et pour bien d'autres raisons (social politique économique) je crois que ce travail de repentence doit avoir lieu sans cela je crains que .........
Je pense aussi que les algériens ont des comptes à régler entre eux...ne serait ce que par leur manque de solidarité entre eux.

A bon entendeur...DZ
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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 09:39
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28 avril 2009 2 28 /04 /avril /2009 14:39
Un rapport dénonce les violences policières contre les mineurs

Pour la première fois, la Commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS) a recensé les violences commises à l'encontre des moins de 18 ans dans son bilan 2008.

Interpellations violentes, fouilles «à nu», bébés dans des Centres de rétention administrative...La Commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS) , autorité administrative indépendante, chargée de veiller au respect de la déontologie de la police, publie mardi, avec son bilan 2008, sa première étude sur la déontologie des forces de sécurité envers les mineurs.

Depuis sa création en 2000, la CNDS a traité 65 dossiers concernant les moins de 18 ans. Parmi ces cas, 50 ont fait apparaître «un ou plusieurs manquements» avérés. Mais pour la commission, «la répétition de certains manquements donne à penser qu'ils sont beaucoup plus répandus que les chiffres ne le laissent supposer».

L'étude pointe des «violences illégitimes» des forces de l'ordre envers des mineurs. Elle donne l'exemple de cinq jeunes interpellés dans le XVIII e arrondissement de Paris, blessés par des policiers, ayant eu entre 2 et 6 jours d'Interruption Temporaires de Travail (ITT) suite à l'interpellation. Les fouilles «à nu abusives» sont aussi dénoncées. Elles doivent être «exceptionnelles à l'encontre des mineurs», et «dûment justifiées» souligne l'étude.

Sur la garde à vue, il est rappelé qu'elle ne peut concerner un mineur qu'à condition d'en informer immédiatement le procureur, et qu'un examen médical doit être demandé «en urgence» en cas de blessure. Ce qui n'est pas toujours le cas. Ainsi, en 2005, un jeune homme qui venait d'être violemment plaqué au sol par un policier d'Evry l'interpellant pour outrage et rébellion a été placé en garde à vue «alors qu'il était incapable de s'alimenter du fait de fractures aux dents et au nez», cite la Commission.

 

«Une personne vulnérable»

Face à un mineur, recommande la CNDS, «un policier ou un gendarme doit avant tout éviter toute confrontation violente». «Vulnérables», «fragiles psychologiquement», les mineurs sont aussi «susceptibles de réactions moins maîtrisées que les adultes», et dans bien des cas une convocation au commissariat serait préférable à une interpellation.

La commission dénonce également l'enferment de jeunes étrangers dans des centres de rétention administrative (CRA). Elle rappelle qu'en principe, les mineurs ne peuvent pas faire l'objet de reconduite à la frontière. Si des jeunes se retrouvent dans des CRA, c'est en vertu du regroupement des familles. Mais pour la commission, l'assignation à résidence et le placement en résidence hôtelière devraient alors être préféré aux CRA. «Depuis que les CRA ont reçu une habilitation à accueillir des familles, force est de constater que l'expulsion de mineurs se banalise» dénonce la commission.

Réaction des syndicats policiers : un rapport «caricatural» pour Synergie, second syndicat d'officiers de police, qui déplore un rapport est «encore plus ahurissant que les précédents». Selon lui, il «tente de démontrer que la France est devenue un Etat policier où ses agents se livreraient sans vergogne à des actes odieux contre les mineurs innocents».

«Force est de constater que la délinquance juvénile fait depuis plusieurs années l'objet d'orientations de politique pénale de plus en plus répressives», souligne la CNDS dans son étude. Et de rappeler que «ce climat répressif ne devait en aucun cas faire perdre de vue aux forces de sécurité qu'un mineur, même délinquant, même dangereux, est toujours une personne vulnérable». «Si cette intervention est menée de manière juste et rigoureuse, elle contribuera à ancrer en lui le respect des loi (…)», fait valoir la CNDS. «Mais elle peut aussi, si elle est perçue comme violente, influencer durablement sa représentation de l'autorité.»

Laure Daussy (lefigaro.fr)
28/04/2009

Là aussi il faut saluer la commission pour ce rapport.

Toutes fois 65 "cas" me parraissent peu au vu des relations qu'entretiennent les jeunes et la police...

A la fin de l'article moi je comprends que la commission préconise de " l'éducation et un peu de justice dans les interventions policière.

La réaction du syndicat de police m'a fait "rire" : "circulez il n'y a rien à voir".

La encore aucune remise en cause

Aucune culture du doute.

Tout comme dans l'"affaire Burgo" vous savez le juge... d'Outreau.


A BON ENTENDEUR SALUT

 


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15 avril 2009 3 15 /04 /avril /2009 20:40

Chronique

Musique et alcool à l'UMP Lycées, par Sandrine Blanchard

LE MONDE  15.04.09 | 16h16

Les jeunes de l'UMP sont des rebelles. Même s'ils sont lycéens, ils peuvent boire de l'alcool avec la bénédiction... de leur parti. Peu importe que l'Assemblée nationale ait adopté le 18 mars l'interdiction de vente d'alcool aux moins de 18 ans et la prohibition des open bars. Peu importe que Roselyne Bachelot, ministre de la santé, ait déclaré : "Pas d'alcool pour les mineurs, c'est clair, c'est simple." Vendredi 27 mars, on oubliait tout. Ce jour-là, "Toute l'équipe de l'UMP Lycées" invitait ses ouailles et leurs amis (à partir de 16 ans) à "une soirée exceptionnelle" à Paris. Attention, "tenue correcte exigée". Au programme : "des surprises, de nombreuses personnalités politiques", des cotillons, de la musique avec DJ et... de l'alcool.

.Mieux : le slogan aurait pu être "Buvez jeunes gens, buvez, et adhérez !" Ainsi, avec la carte de l'UMP, l'entrée de la fête était à 20 euros avec "trois consommations alcoolisées" ; si le jeune adhérait sur place, le prix était identique, mais le nombre de boissons alcoolisées tombait à deux, et s'il n'adhérait pas, il payait toujours 20 euros mais n'avait droit qu'à un verre gratuit. Et le site Internet de l'UMP Lycées de préciser : "Pour toute adhésion, une conso offerte". Bref, plus les lycéens sont proches du parti, et plus ils peuvent boire pour oublier la loi Bachelot !

Je ne suis pas allée à la fête. C'est un confrère du journal (merci Franck !) qui m'a soufflé l'annonce de cette "soirée spéciale" diffusée sur le Web. Les réactions des internautes sont un vrai bonheur : "On va bien mobiliser là-dessus, je pense qu'on sera très nombreux et que ce sera une super soirée", prédit "les jeunes pop'" de la 13e circonscription. "Je vais chercher ma carte demain", s'emballe Popol. "Et pour ceux qui n'habitent pas la région parisienne, à quand ce même type de soirée, pourquoi ne pas faire un truc du genre l'UMP Lycées tour ?", propose Polo. C'est vrai ça, pourquoi pas un UMP Lycées tour sponsorisé par un alcoolier avec Roselyne Bachelot en guest-star ! Pas la peine de faire des affiches pour annoncer la tournée, puisque la publicité pour l'alcool sur Internet a été autorisée par l'Assemblée au détour d'un amendement soutenu par le gouvernement.

Finalement, ce genre d'initiative donne le sourire. Tous les lycéens se ressemblent. Qu'ils soient de gauche ou de droite, difficile de les attirer avec de la limonade. Et puis la politique n'est plus à une contradiction près. A neuf jours d'intervalle, de grands discours sur les dégâts de l'alcool chez les jeunes puis une invitation à boire faite aux lycéens à condition qu'ils adhèrent au parti qui vote l'interdiction des boissons alcoolisées aux moins de 18 ans. Après tout, la loi n'est pas définitivement votée. Elle sera examinée par le Sénat à partir du 11 mai. Et si les sénateurs concoctaient un amendement autorisant la distribution d'alcool lors des soirées lycéennes à condition qu'on y parle politique ?


Sandrine Blanchard

Lemonde.fr

Voila un article qui vaut son pesant d'olives ou de cacahouètes. 

En effet on peut remarquer qu'à chaque fois que la presse parle des jeunes c'est souvent en des termes peut élogieux voire négatifs.

A mon avis les partis politiques plus particulièrement à droite sont en grande partie responsables de l'image dégradée et fausse dont souffre une grande partie de la jeunesse.

Aprés la stygmatisation voire la criminalisation des (certains) jeunes, l' UMP nous propose l'alcoolisation de la jeunesse.

Il ne manque plus que les Verts et le PS organisent des soirées pétards...

 


 




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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 08:47
Hauts-de-Seine (92) Ouverture à Asnières d'une permanence sur les droits de l'enfant

La défenseure des enfants, Dominique Versini, devait inaugurer, vendredi 20 mars à Asnières-sur-Seine, la première "antenne des droits de l'enfant" animée par des jeunes de 18 à 25 ans engagés, dans le cadre du service civil volontaire, comme "jeunes ambassadeurs de la défenseure des enfants" (JADE).
Installés dans un local situé à proximité de l'hôtel de ville, ils assurent une permanence du lundi au vendredi, de 9 h 30 à 16 h 30. Lancé en 2007, en partenariat avec l'association Unis-Cité, le programme JADE vise à faire connaître aux enfants, "de façon interactive et pédagogique", la Convention internationale des droits de l'enfant (CIDE) et les missions de la défenseure des enfants. Les "jeunes ambassadeurs" sont formés par l'instance aux droits de l'enfant et aux techniques d'animation de groupes, tandis qu'Unis-Cité prend en charge leur formation civique et leur accompagnement dans la construction d'un projet professionnel.
"A ce jour, 32 jeunes ambassadeurs, basés dans tous les départements de l'Ile-de-France, dans le Bas-Rhin, le Rhône et la Vienne sont chargés de promouvoir les droits de l'enfant", souligne encore la défenseure des enfants dans un communiqué. Ils interviennent principalement en collège, dans les classes de 5e, mais aussi auprès d'écoles élémentaires, de centres sociaux et éducatifs, d'établissements spécialisés et de services hospitaliers pour enfants. Près de 18 500 collégiens ont ainsi rencontré les JADE de novembre 2008 à mars 2009, dont 1 425 dans les Hauts-de-Seine.

Antenne des droits de l'enfant
82, avenue de la Marne 92600 Asnières-sur-Seine.

Le droit de l'enfant c'est bien!
et le devoir des parents qu'en fait-ont ???
On peut voir régulièrement des jeunes enfants de 6 à 12 ans "trainer" dans les rues.
Est-ce que la defenseur des enfants a quelque chose à proposer, par exemple un encadrement à ces enfants qui èrent de 16h30 à 19, 20h et parfois plus en fonction de la météo...
Encore beaucoup de blabla... Pourquoi ne pas s'être installé dans les quartiers populaires plus au Nord de la Ville... peut être qu'il y a trop de boulot...

à suivre

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6 février 2009 5 06 /02 /février /2009 17:29
Je vous invitent à regarder ce clip réalisé par le rappeur Barback
Un jeune de la cité Jardins.

http://www.youtube.com/watch?v=G8boAIERU-0&feature=related

Voilà un jeune qui ne demande rien à personnes et qui fait un petit bonhomme de chemin.
Bravo et respect.
et si un producteur peut lui donner un coup de main...
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1 janvier 2009 4 01 /01 /janvier /2009 11:48

Si la République ne va pas vers les français issu de l'immigration et des habitants des quartiers populaires, alors nous irons à ELLE... 

Pour la plupart d'entre vous, vous me connaissez, ainsi que mes engagements associatif, citoyen et politique.

Je suis asniérois depuis toujours et pour longtemps, je l'espéres...


Faut-il créer un réel rapport de force, pour peser et exister dans le débat public?

Pour cela, Il nous faut une équipe, des personnes convaincues dans le long terme, prêtes à donner de leur temps mais aussi de leur argent car sans un minimum de moyen et de sacrifice rien ne pourra se faire.

Sans ces préalables nous continuerons à parler dans le vide et à « mendier » auprès des élus et des autorités pour obtenir notre droit le plus légitime.


A commencer par le Respect et la Considération.

 


Quelques chiffres, sur les 520 000 conseillers municipaux élus en 2008 en, seuls 2000 sont des candidats de la « diversité », soit 0,4 % (900 pour l'UMP, autant pour le PS). Sur les 3800 conseillers généraux élus, seuls 14 sont issus de la diversité.

 

Je vous invite à regarder et ECOUTER cette vidéo de Vincent Geisser Politologue et chercheur au CNRS...Effarant!

 

"La diversité ": Quelques épices orientales sur un cassoulet
par oumma
 


Ce blog se veut anti pensée unique, qui parle de citoyenneté, du vivre ensemble et qui dénonce toutes formes de discrimination.
Pas évident de faire de l'éducation civique avec tous ces compresseurs politiques qui enlisent petit à petit la machine démocratique.
La délinquance politique ne cesse de sévir (lobbyng, clientélisme, corruption, carriérisme, coups bas, copinage, infractions diverses...). La Langue de bois est devenue  sport nationale.
La France est mal, nos élus nous ont longuement mené en bateau depuis des décennies.

Exprimons notre mécontentement via les urnes de manière Massive et Historique.

Il est temps de repenser l'avenir de ce pays. Trop d'injustices, trop de pauvres, trop de chômeurs, trop de pollueurs, trop de fachos, trop de technocrates, trop de bullocrates, trop de gâchis...

 

VOTER est un acte de conscience qui engage individualement chaque citoyen.
Par le biais de ce blog vous pouvez venir réfléchir à nos cotés pour un avenir plus humain, plus juste, plus respirable..., plus sympas.
Vous pouvez critiquer, commenter, faire des propositions et même vous engager...

 


A l’initiative du Mouvement « Agir Pour la Citoyenneté »,  plus de 300 intervenants et habitants des quartiers populaires du territoire national, se sont réunis,( j'y étais) le samedi 26 novembre 2005 au Sénat, pour un Parlement des Banlieues réussi parce que mobilisateur et force de propositions.
 
Jeunes des quartiers, parents, universitaires, enseignants, chefs d’entreprises, responsables associatifs ont ainsi débattu pour l’élaboration d’un plan d’actions constitué de 19 propositions avec un mot d’ordre clair : les responsabilités sur la situation de nos quartiers sont partagées.
 
Ainsi, si l’Etat Républicain doit assumer les erreurs politiques commises au cours des 30 dernières années, les habitants des quartiers doivent aussi se prendre en main, sortir de toute approche victimaire ou misérabiliste pour entériner clairement que le retour de la responsabilité individuelle permettra d’améliorer les conditions de vie de plus de 6 millions de personnes qui vivent dans des quartiers dits « sensibles ».
 
Les propositions élaborées par le Parlement des Banlieues s’articulent autour des orientations suivantes :
  • Rompre avec la logique des ghettos sociaux- ethniques qui frappe nos quartiers populaires.
  • Eradiquer l’inactivité, le chômage de masse (40%) et les phénomènes d’oisiveté qui nourrissent  la désespérance pour faire le jeu de l’économie souterraine. 
  • Marquer une exigence forte dans le domaine de l’Education pour mettre chaque acteur, habitant des quartiers et parents en premier lieu, face à leurs responsabilités.  
  • Veiller à la mise en place d’une démarche de professionnalisation des acteurs publics (police, école, service public de l’emploi) et associatifs qui interviennent dans les quartiers.  
  • Clarifier la sémantique politico- médiatique pour éviter la stigmatisation et le renforcement des préjugés fondés sur l’origine ethnique des habitants des quartiers.
 
Les Propositions du Parlement des Banlieues seront transmises au gouvernement, à l’opposition, au MEDEF et aux organisations syndicales pour favoriser la mise en place d’un plan d’urgence destiné à aller à la reconquête de nos quartiers avec un esprit républicain.
Elles sont au nombre de 19 et concernent 5 grands axes:
 
.
 L’Education.

1.
      Transformer les écoles situées en Zone d’Education Prioritaire (ZEP) en Pôles d’Excellence Educatif (PEE) avec des classes composées de 18 élèves maximum, des enseignants formés et  expérimentés. Nous demandons à ce que l’accompagnement scolaire soit assuré par l’Education Nationale en partenariat avec des structures associatives de quartiers. Nous demandons également l’intégration de cycles de réussite comme, notamment, des classes de préparation à l’accès aux grandes écoles.

2.
      Réviser la carte scolaire sur la base d’un nouvel objectif affiché : la mixité géographique. Celle-ci imposera naturellement les règles de mixité sociale et culturelle indispensables pour renforcer l’Ecole Républicaine.

3.
      Réformer en profondeur les structures locales chargées de l’Orientation Scolaire avec la création d’Instances de pilotage et d’Orientation quadripartites composées de parents, d’enseignants, de professionnels de l’accompagnement scolaire et d’acteurs économiques.

4.
      Supprimer la sectorisation universitaire afin de favoriser le brassage des populations estudiantines.
 
L’Emploi.

5.
      Exonérer de charges patronales toutes entreprises qui embauchent un jeune de -30 ans issu d’un quartier prioritaire (exonération sur 3 ans).

6.
      Créer le dispositif des Emplois Seniors destinés à redonner une place et une dignité à des parents (+ de 45 ans) en proie au chômage ou à l’inactivité. Ce dispositif s’appuiera, à l’instar de ce qui a été mis en place pour les emplois- jeunes sur des aides de l’Etat et un allègement de charges et sera destiné aux bailleurs, collectivités locales et territoriales.

7.
      Mettre en place un suivi et un accompagnement individualisé vers l’emploi des jeunes diplômés des quartiers populaires. Ces derniers doivent devenir des exemples de réussite aux yeux des plus jeunes.

8.
      Développer la mise en place de Bus d’aides à la création d’entreprises qui sillonneraient les quartiers pour conseiller et faciliter l’aboutissement de projets économiques et faire naître un esprit d’initiative auprès des habitants des cités. Action mise en place à l’échelle régionale, en partenariat avec les CCI, les Conseils Généraux et les Conseils Régionaux.

9.
      Etendre les dispositions de la loi sur les nouvelles régulations économiques sur la notation des pratiques sociales des entreprises en matière de diversité à l’embauche et de gestion des compétences. Mettre en place un palmarès des entreprises citoyennes pour sortir du simple affichage et des stratégies de marketing social utilisées par certaines entreprises signataires de la charte de la Diversité
 
Le Logement et  l’urbanisme.

10.
   Renforcer le régime de pénalisation pour non respect des dispositions de la loi SRU sur le logement social. Aller de la remise en cause des dotations publiques à des sanctions pénales conduisant à l’inéligibilité des responsables politiques qui n’engagent pas de programme de construction progressif pour respecter la loi SRU;

11.
   Imposer l’anonymat des demandeurs de logements dans les commissions d’attribution des Offices HLM, SA et SARL. 

12.
   Ouvrir la composition des commissions d’attributions de logements sociaux à une représentation des habitants obligatoire.

13.
   Intégrer dans tout projet de construction de logements sociaux une phase de concertation préalable entre rénovation urbaine, politique environnementale, déploiement des infrastructures et transports publics.
 
La professionnalisation des intervenants publics et privés dans les quartiers.

14.
   Mettre en place un système de primes et de bonification salariale pour les agents des services publics (Education, Police Nationale, Services Public de l’Emploi…) intervenants en zones sensibles ;

15.
   Intégrer dans le cadre statutaire de la Fonction Publique Territoriale les animateurs sociaux des structures associatives subventionnées agissant dans le domaine de l’Education, de l’accès à l’Emploi, de la prévention de la délinquance ou de la médiation. Processus de validation des acquis de l’expérience et cursus de formation obligatoires pour intégrer ce nouveau statut.

16.
   Créer des Points Accueils Parents permettant de mettre ne place des actions de médiations parentales en temps réel, de responsabiliser les parents démissionnaires, d’aider ceux qui sont dépassés par les évènements. Positionner cette structure en interface de l’Education Nationale, de la Justice et des services sociaux si les parents ne répondent pas aux sollicitations de ces institutions.

17.
   Instaurer un plan de formation obligatoire relatif à la vie des quartiers au bénéfice des intervenants publics et associatifs dans les quartiers populaires.
 
L’image et la sémantique.
 
18.   Mettre en place un régime de sanctions pénales, dans le cadre de la loi relative à la lutte contre toutes les discriminations, dès qu’il est fait publiquement mention des origines ou des appartenances de quelque nature que ce soit dans toute communication officielle et dans les médias. Nous demandons l’intervention du CSA et un suivi plus rigoureux de cette structure sur les dérives sémantiques répétées des médias en général (la précision « un français d’origine Algérienne » dans la page des faits divers ou « les jeunes Beurs » pour nommer les jeunes français habitants les quartiers…).

19.
  
Abroger la loi du 23 février 2005 sur la colonisation et lancer une campagne nationale d’intérêt général sur les bénéfices tirés par la société française des différentes époques d’essor des immigrations.

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RNV en musique.

Les musiques illustre parfois nos articles.